Le saumon regorge de vitamines, c’est une source d’oméga 3 et il est bien toléré par une majorité de personnes. J’aime préparer ce poisson au four, comme dans cette recette. C’est une recette délicieuse que vous pouvez réaliser en un tournemain. Avec un fromage aux fines herbes (avec ou sans lactose), vous lui donnerez une petite touche supplémentaire.
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Imaginez… Vous devez vous rendre aux toilettes de façon inattendue, et vous ne pouvez vraiment pas retarder cette visite. Tout au long de la journée, vous souffrez de crampes douloureuses et, chaque fois que vous mangez, vous devez faire très attention à ce que vous avalez… Tout cela, c’est votre quotidien, votre vie de TOUS les jours. Les personnes atteintes de maladie de Crohn ou de colite ne savent que trop bien ce que cela signifie. Mais si vous n’êtes pas malade, c’est difficile à concevoir.
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Ce n’est qu’en 2014 que l’on m’a diagnostiqué une colite ulcéreuse. Mais j’étais en proie à des douleurs abdominales depuis mon enfance.
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Vous êtes en traitement chez un médecin. Que fait alors une infirmière spécialiste des MICI ? Elle constitue le lien entre vous et le médecin. Elle est à votre disposition pour répondre à vos questions, fixer vos rendez-vous. Considérez-la comme votre personne de confiance.
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En général, je préfère me déplacer en voiture, pour aller travailler mais aussi lorsque je pars en voyage. Certains jours, il est facile de prendre les transports publics, et d’autres fois, c’est plus problématique. Résultat, je n’ose pas toujours m’y risquer. En fait, je me sens plus en sécurité en voiture.
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Je travaille normalement à plein temps comme aide sociale. Pour le moment, je suis en congé de maladie à temps partiel. J’espère pouvoir reprendre bientôt le boulot à 4/5e, mais je crains que ce ne soit qu’un vœu pieux. Je souffre énormément de fatigue et de douleurs articulaires.
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Le week-end dernier, nous avons fêté Pâques. La fête de l’espoir. Mais il n’est pas évident d’être optimiste et heureux par les temps qui courent. Surtout maintenant que nous savons qu’il nous faut rester confinés encore plus longtemps.
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Nous souffrons tous du stress à un moment ou à un autre. Surtout actuellement, en ces temps particuliers, nombreux sont celles et ceux qui s’inquiètent. C’est également le cas des patients atteints de colite ulcéreuse. C’est tout à fait normal. Mais le stress est souvent un déclencheur majeur de crises. Raison pour laquelle il est plus important que jamais de se détendre. Comment y parvenir ?
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Je travaille comme sage-femme sur le campus Gasthuisberg du CHU de Louvain. J’ai toujours rêvé d’y travailler, et il y a deux ans, ce rêve est devenu réalité. J’ai commencé comme infirmière et ensuite comme sage-femme.
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Je ne mange que des frites qui sortent de l’Airfryer. Je ne mange jamais de chou, sauf des brocolis préparés au micro-ondes. Cela peut vous paraître étonnant, mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé de ne pas être dérangée. Tous les aliments que je mange doivent être fraîchement préparés. En soi, c’est une bonne chose parce que c’est sain. Mais c’est aussi fatigant, je ne peux jamais me permettre un petit écart.
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J’adore voyager. C’est l’un de mes hobbys. Mon mari et moi avons déjà fait de nombreux voyages magnifiques. Il y a encore beaucoup de pays sur notre liste et j’espère pouvoir tous les visiter.
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Toute ma vie, j’ai dansé énormément et j’ai continué à le faire jusqu’à mes 25 ans. Malheureusement, je n’ai plus pu le faire à cause de mes douleurs articulaires.
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Je suis super fan des wraps et, pour les préparer, je préfère le pain libanais. Procurez-le-vous dans une boutique turque et laissez-vous surprendre par son goût et sa texture.
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Ce délicieux smoothie est prêt en un rien de temps. Au petit-déjeuner ou en guise de collation ? Un smoothie est toujours le bienvenu !
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Quand Lore a donné naissance à son bébé, elle a continué à perdre du poids. Au début, elle trouvait ça plutôt sympa. Au bout d’un moment, elle a compris que quelque chose ne tournait pas rond et elle est allée consulter un spécialiste.
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En 2010, j’ai ressenti d’intenses douleurs articulaires aux hanches, au dos et aux épaules. J’ai consulté divers médecins, sans succès. Je suis allée chez un kinésithérapeute et à l’école du dos, mais les inflammations se sont aggravées. J’avais tellement mal que je pouvais à peine bouger.
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Pour le moment, je dois attendre que mon traitement soit remplacé par quelque chose qui m’aide vraiment. Ma vie quotidienne souffre énormément de la maladie. Je me débats avec cela pendant longtemps.
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En remplaçant le beurre par de la compote de pommes, ce gâteau devient facile à digérer et pauvre en matière grasse. Cette recette est aussi amusante à réaliser avec les enfants !
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C’est un plat qui a toujours beaucoup de succès auprès de mes enfants. J’opte pour une variante saine que je peux facilement digérer.
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Nous sommes ensemble depuis l’époque où nous étions étudiants, mon mari et moi. Je ne suis tombée malade que bien plus tard, alors que nous avions déjà nos enfants. Pieter s’est montré très attentif depuis le début.
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Pendant les froids mois d’hiver, un gâteau aux pommes tout juste sorti du four offre le réconfort idéal.
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Un merveilleux dessert à base de yaourt grec. Délicieux, riche et pourtant très facile à digérer.
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Avant ma maladie déjà, je veillais à me nourrir sainement, mais jamais de manière extrême. Je mangeais raisonnablement et j’essayais de limiter la consommation de sucres et de graisses.
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Au bout de trois ans sans médicaments, mon colon était en très mauvais état. Les médecins étaient choqués du fait que j’avais vécu aussi longtemps sans traitement. Ma paroi intestinale était très fine et l’inflammation extrêmement grave.
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Avant de tomber malade, j’étais professeure de fitness et d’aérobic. J’ai continué à travailler pendant mes traitements, mais c’était mauvais pour mon corps. Les leçons de sport actives étaient vraiment trop lourdes.
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Je porte une poche depuis un an et demi maintenant, c’est un morceau de mon intestin grêle qui est utilisé comme rectum de remplacement interne. Six mois après la dernière opération, j’ai souffert d’une pochite, une inflammation de la poche. Je voulais éviter à tout prix de retomber malade, alors j’ai vraiment commencé à établir des priorités. Je me suis posé les questions suivantes : « Qu’est-ce qui me rend heureuse, quelles activités m’apportent le bonheur et qu’est-ce qui me déprime ? » Cette réflexion m’a énormément aidée.
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Mon traitement avait démarré directement après le diagnostic, mais mes crises ne diminuaient malheureusement pas quelles que soient les solutions essayées. Je devais me rendre constamment aux toilettes et j’étais de plus en plus fatiguée.
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Il m’a fallu longtemps avant de trouver un équilibre. J’ai été moralement au plus bas et j’ai vécu des moments très pénibles, particulièrement au niveau chirurgical.
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J’ai porté une stomie pendant 14 mois. Ce genre de dispositif fait encore peur à de nombreux patients, mais pour moi, ce fut un soulagement. L’idée de sortir ne me stressait plus et j’avais également bénéficié d’un excellent accompagnement sur la façon de prendre soin de ma stomie. Trois semaines après mon opération, je me suis même rendue à Majorque pour une formation de yoga.
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C’est l’un de mes plats préférés pour toute la famille. Simple, délicieux et très nourrissant. La patate douce et la dinde sont très digestes et vous apportent les nutriments nécessaires.
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J’ai dû faire face aux premiers symptômes de la colite ulcéreuse dès mon plus jeune âge. Pendant longtemps, nous n’avons pas su ce que c’était. Le diagnostic n’a été établi que lorsque j’ai eu 19 ans. Dès l’âge de 8 ans, j’ai été malade régulièrement. Tellement malade que j’ai souvent dû m’absenter de l’école. J’ai malgré tout réussi à ne pas prendre trop de retard et à continuer d’étudier.
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Quand vous me voyez, vous ne soupçonneriez pas que je suis malade. Par exemple, je ne montre pas de signes des effets secondaires de la cortisone. Mais j’en souffre pourtant.
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C’est à 19 ans que j’apprends enfin que je suis atteint de colite ulcéreuse. Je dis enfin, car avant cela il y a eu une période de dix ans d’incertitude et d’ignorance.
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Les réseaux sociaux offrent de nombreuses possibilités aux patients, et aux prestataires de soins, comme moi. Je peux envoyer très rapidement de l’information à des patients et entrer facilement en contact avec d’autres prestataires de soins.
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Les choses se sont gâtées il y a cinq ans. J’ai commencé à avoir des problèmes intestinaux et je me suis mise à paniquer. Je pensais que j’avais attrapé un cancer de l’intestin. Ou des polypes bénins, c’était également possible. Ma mère en avait eu quelque temps auparavant. Quoi qu’il en soit, je voulais être examinée le plus rapidement possible. Je me suis donc précipitée chez le premier spécialiste venu. Une expérience épouvantable !
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Le muffin aux pommes, ce délicieux petit en-cas de vos journées d’hiver, embaumera votre maison de ses effluves lors de la préparation. Vous pouvez sans souci adapter les ingrédients de cette recette au gré de vos envies, et par exemple opter pour une variante sans gluten ou sans lactose.
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Si vous avez une colite ulcéreuse, celle-ci affecte votre vie quotidienne. Une simple journée de travail peut être totalement bouleversée. Les participants au projet ‘In Their Shoes’, organisé par Takeda, en ont fait l’expérience : médecins, infirmiers, coordinateurs d’études, journalistes, politiciens et collaborateurs de Takeda se sont mis dans la peau d’un patient atteint de MICI pendant une journée.
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Frederika et Deborah sont infirmières, spécialistes des MICI à l’hôpital UZA d’Anvers. Elles sont les personnes de contact pour les patients atteints de la maladie de Crohn et de colite ulcéreuse de la clinique MICI.
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Voyager est extrêmement important dans ma vie. En 2013, j’ai effectué un stage comme sage-femme au Sénégal. Là, j’ai attrapé le virus du voyage et de la découverte du monde. Bien sûr, la colite a dans cette histoire aussi un rôle à jouer, mais c’est possible.
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La période du coronavirus a également des aspects positifs. Elle me donne plus de temps pour cuisiner, par exemple. J’ai l’opportunité de commencer à préparer le dîner un peu plus tôt pour que votre plat puisse mijoter plus longtemps. C’est une réelle valeur ajoutée, surtout pour la sauce bolognaise. Celle-ci peut alors s’épaissir à loisir et développer toutes ses saveurs.
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Après trois semaines d’enseignement à domicile, les enfants devraient maintenant pouvoir profiter de la deuxième semaine des vacances de printemps. Sauf que celles-ci n’ont absolument rien de commun avec les précédentes : toutes les activités et sorties sont supprimées. Les circonstances nous obligent tous à rester chez nous. Divertir les enfants en permanence n’a rien d’évident, surtout si la fatigue qu’entraîne la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse se fait sentir. Comment faire en sorte que cette période soit la plus agréable possible pour vos enfants, et que vous puissiez également vous ménager des temps de repos bien nécessaires ? Nous sommes à vos côtés pour vous y aider !
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Je craque de temps en temps pour un petit en-cas, et ce crumble à l’avoine est une saine alternative. Parfois, quand j’ai envie d’autre chose, je me le prépare aussi au petit-déjeuner.
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En août 2018, il a bien fallu se rendre à l’évidence. La colite ulcéreuse dont je suis affecté était réfractaire au traitement. J’ai subi une importante opération chirurgicale. On m’a enlevé le côlon ainsi que le rectum et je vis désormais avec une stomie.
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Je travaille à temps plein comme aide sociale. Parfois, c’est dur, mais mon boulot me donne de l’énergie. J’ai principalement à faire à des personnes handicapées et je leur rends visite de temps en temps. En raison de ma propre maladie, je comprends parfaitement ce qu’elles ressentent. Elles le remarquent et c’est pourquoi elles me font plus rapidement confiance.
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Par exemple, quand je me rends à une fête, je préviens à l’avance : « Nous ferons de notre mieux pour venir, mais nous ne resterons peut-être pas très longtemps. » Mes amis comprennent ça parfaitement.
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Je suis très fière de la façon dont Karen gère sa maladie. Elle est très forte et écoute toujours son corps. Elle ne s’en tient pas seulement à tout ce que disent les médecins. J’admire ça, car ce n’est pas facile pour un patient.
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Au cours des trois derniers mois environ, j’ai un peu moins souffert de ma colite. Enfin ! Je puis à nouveau retourner plus souvent à l’école et je ne suis plus obligée de filer aux toilettes à tout bout de champ. J’ai en plus découvert que je suis allergique au lactose. Résultat, depuis que je suis un régime sans lactose, mes douleurs abdominales se font moins fréquentes.
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La maladie a considérablement changé ma vie, surtout depuis ma dernière poussée sévère. Je ne trouve pas de traitement adéquat. J’ai du mal à l’accepter et c’est pourquoi je vais de temps à autre chez un psychologue. Ces rendez-vous m’aident à ‘digérer’ tout ce qui m’arrive.
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J’ai du mail à parler de long et large de ma maladie. Je n’aime pas me plaindre et je refuse absolument que les gens me considèrent comme quelqu’un de casse-pied. En agissant ainsi, je me complique parfois la vie. Heureusement, je peux facilement parler à mon mari. Je ne sais pas ce que je ferais sans lui.
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Depuis quelques années, Karen a une poche et a été officiellement déclarée guérie. Plus de stomie, plus de médicaments, et elle a à nouveau repris le contrôle sur ses visites aux toilettes. Je partage son bonheur.
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Rétrospectivement, le début de ma maladie a été une période difficile. J’étais très fatiguée, mais je continuais à travailler et à maintenir mes activités sociales. Je dépassais continuellement mes limites physiques.
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La maladie me met à rude épreuve d’un point de vue émotionnel, et ce dans différents domaines. Il m’est difficile de sortir. Avant, je menais une vie bien remplie et j’étais occupée tout au long du week-end. Maintenant, je fais attention à ne prévoir qu’une seule activité par week-end.
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Les premiers symptômes sont apparus lorsque j’avais 12 ans. Je devais aller très souvent aux toilettes, j’avais fort mal au ventre et je constatais parfois des pertes de sang.
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Nous étions ensemble depuis deux ans quand j’ai soudainement eu mal au dos. C’était très grave : je ne pouvais plus m’asseoir, ni m’allonger, ni rester debout. Cette douleur a entrainé de longues recherches sur l’origine du mal. Mon mari était très présent à mes côtés.
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Je réagis très mal et avec virulence aux médicaments. Ces derniers mois, j’ai quasi tout essayé, mais jusqu’à présent, rien ne semble pouvoir m’aider. Ma santé reste chancelante et les crises s’enchaînent. À la fin de l’année dernière, j’ai même été à nouveau admise à l’hôpital parce que ça n’allait vraiment plus. Ils m’ont administré un traitement lourd, avec tous les effets secondaires qui en découlent. Prise de poids, visage gonflé, nervosité extrême, … cela n’avait rien d’agréable. Néanmoins, cela m’a quelque peu soulagée de mes symptômes.
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Kathleen (48 ans) souffre de la maladie de Crohn depuis l’âge de 15 ans. Elle a également une stomie depuis 26 ans. Cette dernière l’empêchait de s’habiller en toute confiance. Avec la styliste Lien Degol, Kathleen est partie à la recherche de vêtements et de lingerie adéquats.
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Mes frais médicaux sont assez élevés : les contrôles et examens réguliers, mes séances quotidiennes chez le kiné, mes médicaments… Auparavant, je pouvais me rabattre sur l’assurance hospitalisation de mon père pour financer une partie des coûts, et aujourd’hui je bénéficie heureusement d’une assurance groupe au travail. Mais tant que la colite ne sera pas reconnue comme maladie chronique, le montant des frais médicaux restera important.
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Je parle de ma maladie de manière très ouverte. Pourquoi ne le ferais-je pas ? Je n’y peux rien si j’ai eu la malchance d’attraper cette affection. Ma vie ne s’est pas arrêtée parce que je souffre d’une maladie chronique. Le fait que je sois naturellement calme et que je ne souffre pas facilement du stress, m’aide également beaucoup.
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Je suis actif depuis un an comme bénévole au sein de l’association de patients Association Crohn-RCUH. Je me bats pour que la colite soit reconnue comme maladie chronique. Mon travail en qualité de bénévole me fait beaucoup de bien au niveau psychologique, j’en retire énormément de satisfaction.
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Il a fallu onze ans, de mes 8 ans à mes 19 ans, avant que soit établi le bon diagnostic. Dans l’intervalle, j’ai subi de très nombreux examens, mais sans résultat. Un médecin avait même pensé que mes symptômes étaient psychosomatiques. En raison du stress. J’étais encore un enfant.
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Comme j’ai une poche, je choisi des aliments qui absorbent beaucoup d’eau. Ce plat classique, savoureux et nutritif est l’un de mes préférés.
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Délicieux et faciles à digérer, ces biscuits sont la collation idéale pour toute la famille.
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Je ne suis pas un voyageur, mais cela n’a rien à voir avec ma maladie. Je préfère juste être à la maison, avec mon partenaire et mes animaux. Ma plus grande crainte quand je voyage est de ne pas avoir un accès suffisant à des toilettes propres. Parce que je dois y aller au moins six fois par jour, si la journée est bonne.
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Cela fait 12 ans que j’ai été diagnostiquée. J’avais souffert pendant plusieurs semaines de diarrhées extrêmes, de maux de ventre et je me sentais complètement misérable.
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Je suis jeune et je ne peux pas faire ce que je veux en raison de ma maladie. Je ne peux rien planifier et je trouve cela très ennuyeux. Mes options sont limitées, à la fois professionnellement et socialement. J’accepte cette situation du mieux que je peux, mais cela ne veut pas dire que je la trouve agréable.
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Cette soupe au potiron au lait de coco et curry est légère et digeste et donc parfaite pour des patients atteints d’IBD. C’est une option saine et délicieuse si vous souhaitez apaiser une petite faim.
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Les patients veulent savoir pourquoi ils doivent suivre tel ou tel traitement. Le classique « prenez cette pilule », ne fonctionne plus. Et c’est logique. Les gens s’expriment plus aujourd’hui et parlent davantage de leur maladie, surtout via les médias sociaux. Comme la confiance dans la thérapie a une énorme importance dans le cas de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse, une information exhaustive et compréhensible à propos du traitement est indispensable.
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Je viens d’une famille très unie et les différents séjours à l’hôpital nous ont encore rapprochés. Toute personne qui souffre de colite, a besoin d’un réseau solide. Sans ce filet de sécurité, la vie devient infiniment plus difficile.
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Au début, je pensais que j’avais une grippe intestinale. J’avais d’énormes crampes d’estomac, encore pires que des contractions. Je ne pouvais plus marcher à cause de la douleur. Je ne pouvais rien avaler. Les médicaments contre les crampes ne servaient absolument à rien. Un jour, un médecin m’a dit que je souffrais de pancolite.
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De nombreuses personnes atteintes de colite ulcéreuse souffrent de fatigue chronique. Même en rémission. Il n’est pas toujours facile d’expliquer au monde extérieur la nature exacte de cette fatigue. Les uns se sentent exténués comme s’ils avaient fourni un effort physique important, les autres sont surtout épuisés mentalement. D’autres encore ressentent les deux types de fatigue. Et l’impact sur la vie quotidienne ne peut être sous-estimé.
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C’est l’été et j’aime voyager, y compris dans ma cuisine. Ces gaufres aux épinards sont un mélange de salé et de sucré, avec une touche grecque. Elles ont peut-être l’air un peu étrange, mais elles sont super savoureuses. Essayez-les, vous verrez !
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En été, les courgettes sont de sortie. Ces mini quiches sont donc tout à fait de saison. En plus, elles sont absolument délicieuses, je suis une super fan ! Servies avec une salade fraîche, vous avez un repas savoureux, léger et sain à vous mettre sous la dent.
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Il est important de manger sainement. Ce faisant, vous vous sentez mieux et votre système immunitaire s’en trouve renforcé. Et c’est ce dont nous avons besoin, aujourd’hui plus que jamais.
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Comment gérer le stress maintenant que la vie semble complètement différente ? Agissez-vous la peur au ventre ou faites-vous preuve de confiance ? Comment réagissez-vous face à l’effacement des structures ? Ou au fait que votre mode de vie habituel soit totalement bouleversé ?
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Beaucoup de patients atteints de maladie de Crohn et colite s’inquiètent du coronavirus. Avec l’UZ Leuven, nous mettons les choses au point.
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En tant que patient atteint de la maladie de Crohn, j’ai remarqué que ce plat me fait un bien fou. Il me rend complètement zen ! Avec ces gaufres à base de lait de soja et accompagnées d’un délicieux topping, vous posez sur la table un plat sain et haut en couleur.
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J’ai donné cours pendant 20 ans. J’enseignais le néerlandais et l’allemand à des étudiants de dernière année du secondaire. Lorsque j’ai contracté la colite il y a 11 ans, c’est devenu de plus en plus difficile.
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Depuis 2016, je fais très attention à mon alimentation. J’essaie de manger des choses aussi pures que possible. Heureusement, je ne buvais de toute façon pas d’alcool ni de café, y renoncer n’a donc posé aucun problème. Au restaurant, je ne choisis pas à chaque fois un plat sain, mais cela n’est pas facile car je n’aime pas tellement les salades.
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Lorsque vous êtes atteint(e) d’une maladie chronique, vous vivez avec un corps qui ne fonctionne pas à 100 % de manière optimale. Dans le cas de la maladie de Crohn ou de la colite ulcéreuse, ce sont les intestins qui posent problème. Les moments, la fréquence et l’intensité de vos souffrances varient énormément. De plus, les symptômes de la maladie ne sont pas toujours visibles pour votre entourage. C’est pourquoi vous êtes peut-être souvent confronté(e) à de l’incompréhension. Cela peut être pénible, surtout au travail.
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Quand j’étais malade, je me sentais très fatiguée. Pourtant, j’ai continué à travailler et à maintenir mes activités sociales. Je dépassais continuellement mes limites physiques. Rétrospectivement, ce fut une période très difficile.
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J’ai toujours été enseignante en troisième année primaire. Je travaillais depuis 7 ans environ quand j’ai soudainement commencé à souffrir du ventre. Je devais très souvent me rendre aux toilettes. Au début, je ne savais pas vraiment ce qui se passait, mais après quelques mois, le diagnostic est tombé : colite ulcéreuse.
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J’ai toujours continué à voyager, même quand je n’avais pas de poche et que j’étais très malade. J’ai bien sûr choisi en permanence des destinations accessibles à une patiente atteinte de MICI.
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Un plat tout en simplicité, qui ne vous oblige pas à vous précipiter au fitness ! La sauce est préparée avec du yaourt grec entier. Vous ne tolérez pas les produits à base de lactose ? N’hésitez pas à remplacer le yaourt par une variante sans lactose. Vous ne tolérez pas les champignons ? Alors préférez-leur les courgettes !
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Je mange en prenant des précautions et j’essaie toujours de choisir l’option la plus saine. Je mange surtout beaucoup de fruits et légumes. Comme j’ai une poche, je dois aussi manger suffisamment de produits épaississants. Les bananes, le riz, le pain et les pommes de terre figurent dès lors toujours sur ma liste de courses.
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Nous étions toutes les deux déjà adultes lorsque Karen est tombée malade. Nous avons toujours eu de bonnes relations. Karen avait peur que cela ne change après son diagnostic.
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Un plat auquel je reviens souvent quand je fais des petits dîners. C’est l’une de mes recettes préférées des livres de Pascale Naessens.
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Mon entourage n’ignore rien de ma maladie. Mes amies m’aident toujours à chercher des toilettes et m’ont toujours soutenue. J’ai cette maladie depuis plusieurs années, donc pour elles, en tenir compte s’est fait progressivement.
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Je me rends régulièrement à l’hôpital. Tous les deux mois, je consulte ma gastro-entérologue avec qui j’ai un bon contact. Je suis également suivi par un rhumatologue pour mes douleurs articulaires. J’en souffre principalement lors d’une crise. Et comme si cela ne suffisait pas, en pareil moment, je souffre également de migraines.
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Ma vie sociale n’a pas souffert de ma maladie. C’est parce que je n’ai jamais considéré celle-ci comme un tabou. Tout le monde sait que je suis atteinte de colite ulcéreuse. Je n’en ai pas fait un secret. Quand des amis m’invitent à sortir, je leur réponds honnêtement que ça ne va pas marcher. Généralement, je fais une contre-proposition qui, elle, réussit. Un rendez-vous chez des gens ou même dans un café, ça se passe bien. Du moment qu’il y a des toilettes dans les environs.
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Quoi de plus délicieux qu’un muffin avec une bonne tasse de café ou de thé ? Cette version légère à base de yaourt convient parfaitement aux patients MICI.
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Comme les crêpes ne sont pas toujours faciles à digérer, je remplace dans ma préparation le lait de vache par du lait de riz. Une variante légère et savoureuse.
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Pas encore l’envie de voir l’été prendre fin ? Avec ce dessert tropical, vous faites entrer le soleil dans votre maison.
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Voilà une de mes recettes favorites ! La shepherd’s pie est un plat qui peut vous procurer beaucoup de plaisir, mais qui est aussi susceptible de s’avérer un peu lourd. Avec cette recette à base de hachis de poulet, vous disposez d’une version saine et tout aussi délicieuse.
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Je suis depuis peu à temps plein à la maison. Après ma dernière crise, j’ai réduit mon horaire de travail de 20 à 16 heures, mais même cela me semblait trop dur. Mon job est super important pour moi et je ne veux pas l’abandonner comme ça. Pourtant, je dois accepter les limites que m’impose mon corps. Et aujourd’hui, mon corps dit : repos.
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Mon médecin ne me prescrit pas de régime spécifique. « Déterminez vous-même votre propre régime », me conseille-t-elle. Malheureusement, ce n’est pas si simple.
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Le 19 mai a lieu chaque année la Journée Mondiale des MICI. L’occasion de mettre en lumière le combat mené par les associations MICI au nom de tous les patients souffrant de la maladie de Crohn ou de la RCUH (Recto Colite Ulcéro Hémorragique). Un éclairage dont l’importance est soulignée par Xavier Donnet et Maïkel Honoré, tous deux très actifs au sein de l’Association Crohn-RCUH.
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Lorsque je souffre de crampes ou de maux de ventre sévères, je dois pouvoir aller aux toilettes dans la minute. Souvent, cela m’est impossible parce que mon passeport toilettes n’a aucune force légale. C’est extrêmement frustrant pour les patients atteints de colite ulcéreuse ou de la maladie de Crohn.
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Les patients atteints de MICI se font encore trop souvent claquer la porte au nez lorsque, inopinément, ils doivent aller d’urgence aux toilettes. Cela doit changer, trouvent les associations de patients. Comment soutenir l’action de l’Association Crohn-RCUH, de Takeda et de la CCV-vzw ?
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Après le diagnostic, nous avons commencé avec un traitement doux, mais sans succès.
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Les desserts un peu lourds ne sont pas une option si vous êtes atteint(e) de la maladie de Crohn ou de colite ulcéreuse. Ce cake de banane, par contre, constitue une manière agréable et saine de clôturer la journée.
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